Arkhangaï (Mongolie) - Juillet 2004

La Mongolie nomade

Mongolie, terrre de contrastes. On vous l'a déjà faite ? Et pourtant, cette expression tant usée qu'elle en est galvaudée prend ici tout son sens. Comment décrire autrement un endroit où vous marchez tantôt sous une pluie fine et persistante puis, une demi-heure après, où vous suffoquez de chaleur sous un soleil implacable, puis une demi-heure après encore, grelottez, cinglé par un orage de grêle. Comment décrire un endroit où un ivrogne vous barre obstinément le passage sur son cheval et défie toutes vos tentatives pour le raisonner (pour vous inviter chez lui à boire un coup, et trouver ainsi une occasion de parfaire sa cuite, il est vrai) mais où, une demi-heure plus tard, une famille vous accueille avec gentillesse et curiosité en vous offrant force laitages en guise de cadeau de bienvenue. En Mongolie, la demi-heure est l'unité de temps : au delà, plus rien n'est certain.

Décrire la Mongolie est difficile  quoi de commun entre les hautes montagnes de l'Altaï, celles plus douces de l'Arkhangaï, les steppes et le désert de Gobi ? D'un bout à l'autre de la Mongolie toutefois, un point commun : le nomadisme est, pour quelque temps encore, le roi. Au milieu de ce pays, à la culture si différente de la notre, l'Arkhangaï est un cadre de trek enthousiasmant. Partons donc le visiter en photos.

La galerie photo

Allez voir les photos du trek sur Flickr, pour y télécharger les images dans leur taille originelle et voir sur une carte les lieux où elles ont été prises.

La carte

La carte du trek dans Google Maps.